• Sentir tes mains malmener mon corps,

    Tes lèvres douces qui me font frémir sans effort.

    Comme quand dans le désert tu vois un mirage

    Là, souvent tes doigts y provoquent l'orage.

    Je n'ai pourtant jamais eu peur du noir

    Mais j'ai peur de me noyer dans ce regard.

    Sûrement parce qu'il en dit plus que des mots

    Pourquoi j'aime tant ces contacts sur ma peau?

    Mon corps devient tout aussi brûlant

    Que le serait un soleil d'été;

    Tout mon être s'abandonne fièrement

    Dans ce monde, je suis prêt à voyager.

    Et là, tous mes sens sont en alerte

    Les mots, les sons, les accessoires me mettent en émoi.

    Et quand ton corps chaud se pose en moi

    Je sens en moi monter la tempête,

    Fondamentale différence de ne faire que subir

    Pouvoir lâcher prise et ne plus rien contrôler,

    Car petit à petit ma confiance, tu as gagné.

    A toi je me donne, pour notre plus grand plaisir.


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  • Dans les terres lointaines où je me trouve,

    Tu es sans cesse présent à mon esprit et à mon cœur.

    Un lieu riche qui la nuit peuple mes rêves.

    Ce que ressent réellement mon coeur

    Si seulement mes mots pouvaient l'exprimer

    Alors, tu serais où je suis.

    Si tu peux te figurer une contrée cachée,

    Dissimulée derrière de hauts sommets enneigés;

    A la fin de ce périple, j'espère que tu te rendras compte

    Que la distance qui nous sépare est moins importante

    Alors, tu seras où je suis.

    De ces erreurs, la leçon je n'ai pas su tirer.

    Mais l'esprit clair, libre de toutes confusions;

    Tant de choses que j'ai faites m'inspirent du regret,

    Merci a toi de me chercher loin, vers l'horizon.

    Alors, sais tu où je suis?

    Je vis en pleine lucidité lorsque ta lumière devient plus claire,

    Lorsque les sons de ta voix deviennent perceptibles.

    Tout est en mouvement et je reste immobile

    Je me sens rempli de cette présence salutaire

    Puisque tu es, où je suis.


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  • Le seul moment où je suis moi, c'est lorsque les mots s'envolent de mon stylo pour noircir page après page... J'écris à l'encre de mon sang, je dépeins mon âme...
    Je m'enfuis dans mes rêves car la réalité est trop amère, l'enfer est partout sur terre...
    Et en chaque personne vit un démon... Derrière chaque écran se cache une âme solitaire, qui cherche une vie meilleure car le bonheur est absent de leur coeur... Certains dans leur perdition boivent, d'autres fument, et tous se mentent...
    Le monde sombre dans la nuit, dans la peur et finit dans l'oubli...
    Je suis comme tant d'autres à chercher son âme soeur, pour mettre fin à mon malheur... Depuis l'aube du monde j'attends d'enfin trouver l'amour dont tant de gens nous vente le salut à commencer par un Dieu qui bannit des cieux ceux qui aiment leurs semblables...
    Qui nous dit que ce le diable a à nous proposer n'est pas mieux... ?


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  • Ce soir j'ai mal et mon coeur pleure.
    Attendre ton sourire des heures,
    Mais ta bouche n'exprime que rictus
    Qui me blessent encore bien plus.

    Ne suis-je pour toi qu'un objet du décor
    Ou un corps presque mort?
    Dans quels yeux, dans quelles mains,
    Finiront ma vie, mon destin?

    A l'horizon, personne pour me sauver
    De l'emprise que tu as sur moi.
    Aucun bras pour me réconforter
    Ou simplement m'éloigner de toi.

    Jamais tu ne connaîtras
    Tout l'amour qui dort en moi;
    Celui qui pourtant n'appartenait qu'a toi
    Que sans raisons valables tu refusas.


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  • Un léger goût de noir et blanc
    Vient se poser sur mes lèvres.
    Lorsque le soir, assis sur un banc
    Je contemple la nuit qui se lève...
    Saveur amère de la fin d'une histoire
    Qui pèse sur mon cœur déjà trop lourd.
    J'observe les couleurs du désespoir
    S'emparer de mon ciel sans amour.
    Se ne sont ni les étoiles ni la lune
    Que je vois derrière les nuages,
    Ce ne sont que tes yeux, tes mèches brunes,
    Qui illuminent ton précieux visage.
    Assis sur ce banc, j'ai encore mal.
    Car je t'aimais, je t'aimais tellement.
    Que les lueurs du soir sont pales,
    Face aux flammes de mes sentiments


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